La saison du Gémeaux débarque : trop d’idées, pas assez de filtres ?

La saison du Gémeaux – du 21 mai au 20 juin 2025

Rangez vos certitudes, vos plans à trois mois et vos réponses toutes faites.
Le Soleil entre en Gémeaux, et cette saison n’a qu’un seul mot d’ordre : remettre les compteurs à zéro. Mentalement. Socialement. Relationnellement.

Après la lenteur assumée du Taureau, le Gémeaux ouvre les fenêtres. Il bouge, il parle, il questionne.
Il ne promet rien. Il propose. Il explore.

Le mental s’emballe, les conversations reprennent, les idées fusent.
Vous pensiez avoir tranché ? Le doute revient.
Vous pensiez avoir tout dit ? Il reste un message à envoyer.

Est-ce qu’on va trop parler ? Oui.
Est-ce qu’on va changer d’avis ? Aussi.
Mais c’est le prix à payer pour remettre du vivant là où ça tournait en boucle.

Personne ne traverse cette saison en mode avion. Ce qui se joue là-haut vient toucher chaque signe, à sa manière.

Le ciel de la saison du Gémeaux : entre éclairs de lucidité et agitation maîtrisée

Du 21 mai au 20 juin 2025, le Soleil traverse le signe du Gémeaux. Et dès les premiers jours, le ton est donné : mental en alerte, parole qui déborde, attention qui vrille.
L’agitation est là, mais elle n’est pas vide. Elle cherche à reconnecter. À relancer. À sortir du cadre trop serré du Taureau.

Le 26 mai, Mercure rentre en Gémeaux.
Il retrouve son domicile. Et quand Mercure est chez lui, il ne demande pas la permission. Il parle, il coupe, il fait tourner les idées dans tous les sens. On pense vite, on réagit fort. Les discussions reprennent. Les envies changent de forme toutes les heures. C’est stimulant. C’est fatigant. C’est le début du tourbillon.

Le 27 mai, la Nouvelle Lune s’invite en Gémeaux.
Un vrai moment pour poser une intention claire : reprendre la parole, dire ce qu’on a trop tu, écrire, formuler. On ne cherche pas à tout comprendre, juste à lancer quelque chose. Même petit. Même flou. Du mouvement, pas du contrôle.

Mais cette légèreté apparente cache une tension plus profonde. En toile de fond, Saturne (les limites) et Uranus (les ruptures) commencent à s’observer. Deux énergies qui n’aiment pas le compromis. D’un côté, le besoin d’avancer. De l’autre, la peur de tout foutre en l’air. Et entre les deux, vous.

Le 6 juin, Vénus quitte le Bélier pour entrer en Taureau.
Là, on revient au corps. À ce qui tient. Ce qui dure.
Les jeux de séduction prennent une autre tournure. On teste moins, on choisit mieux. Le plaisir, oui. Mais pas à moitié. Si ça ne nourrit pas, ça tombe.

Le 9 juin, Jupiter quitte le Gémeaux.
Un passage clé. Après une année passée à tout remettre en question, Jupiter glisse en Cancer. L’expansion devient intime. On quitte le mental pour se reconnecter à ce qui touche.
Les grandes idées ne suffisent plus. Il faut qu’elles fassent sens. Qu’elles résonnent.

Le 11 juin, la Pleine Lune éclaire le Sagittaire.
Face au Gémeaux, elle vient questionner l’essentiel : à quoi ça sert, tout ça ? Pourquoi tous ces mots, tous ces mouvements ?
C’est le moment de faire du tri. De garder ce qui guide. De lâcher le reste.

La saison du Gémeaux ne demande pas de tout comprendre. Elle demande de rester en mouvement. Pas pour fuir. Pour voir ce qui mérite d’être conservé… et ce qui ne faisait que remplir le vide.

Ce que la saison du Gémeaux va réveiller en vous (signe par signe)

Cette saison, ça bouge. Beaucoup. Mais pas pour tout le monde de la même manière.
Certains vont briller, d’autres vont douter. Certains vont parler plus, d’autres vont devoir écouter enfin.
Voici ce que ça vient chercher chez vous, signe par signe.

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♈ BÉLIER — Trop vite, trop tôt, trop fort

La saison démarre et vous avez déjà trois projets en tête, deux conversations entamées, et zéro patience pour ce qui traîne.

Avec le Gémeaux aux commandes, ça s’agite dans tous les sens. Et chez vous, ça monte direct au cerveau. Envie de dire, d’agir, de décider. De tout. Tout de suite.

Mais attention : ce mois-ci, il ne s’agit pas juste de parler vite. Il s’agit de choisir ce que vous voulez vraiment lancer.
La Nouvelle Lune du 27 mai peut marquer un vrai redémarrage mental, si vous posez les choses noir sur blanc.
Sinon, ça part dans tous les sens, et vous finissez plus fatigué qu’avancé.

Début juin, Vénus ralentit le rythme. Moins d’agitation, plus de présence. Et à partir du 9, Jupiter change de terrain : ce qui ne vous nourrit pas émotionnellement va devenir très lourd à porter.
Alors oui, allez vite. Mais pas dans le vide.

🟢 À faire : relancer une idée qu’on avait mise de côté. Proposer. Clarifier.
🔴 À éviter : foncer sur tous les fronts pour éviter de choisir.

♉ TAUREAU — Ce qui vous rassurait commence à grincer

Vous avez à peine repris votre souffle après votre propre saison que déjà, on vous pousse à ressortir.
Le Gémeaux n’a pas le temps. Il veut bouger, tester, parler. Et vous, vous regardez tout ça avec un mélange de distance et de fatigue.

Ce n’est pas que vous n’aimez pas le changement. C’est que vous avez besoin de comprendre à quoi il sert.
Ce mois-ci, ça ne sera pas toujours clair.

Les sollicitations s’enchaînent, les demandes s’accumulent, et vous, vous avez juste envie qu’on vous laisse tranquille deux minutes. Mais ce n’est pas le moment.
Parce que dans tout ce bruit, il y a peut-être une vraie proposition. Quelque chose qui mérite d’être entendu.

Vénus revient chez vous début juin. Et avec elle, une forme de stabilité.
Mais avant ça, il va falloir tenir debout au milieu du brouhaha.

🟢 À faire : écouter sans répondre tout de suite. Observer avant de juger.
🔴 À éviter : camper sur des certitudes juste parce que vous êtes fatigué de douter.

♊ GÉMEAUX — C’est votre saison, et tout repart. Ou presque.

Le Soleil est chez vous. Mercure aussi. Jupiter vous quitte mais vous laisse une dernière impulsion.
Et vous, vous sentez bien que quelque chose se joue maintenant.

Vous avez des idées. Beaucoup.
Des envies. Trop.
Et un mental qui tourne comme une machine lancée à pleine vitesse.
Ça donne de l’élan, oui. Mais aussi une vraie question : qu’est-ce que vous voulez vraiment faire de tout ça ?

Ce mois-ci, on vous voit. On vous écoute. Vous avez la main.
Mais attention : ce n’est pas parce que c’est fluide que c’est profond.
Ce n’est pas parce qu’on vous répond que ça construit quelque chose.

La Nouvelle Lune du 27 peut vous offrir un vrai reset. Une manière de reprendre la parole autrement. De poser une intention plus nette.
Et à partir du 9, quand Jupiter quitte votre signe, on passe à autre chose. Moins de brillance. Plus de vérification.

🟢 À faire : poser vos idées, une bonne fois pour toutes. Lancer. Clarifier.
🔴 À éviter : faire semblant que tout est possible pour éviter de choisir ce qui compte.

♋ CANCER — Ce qui remue en vous ne demande plus de silence

Vous n’êtes pas encore au centre du ciel, mais vous le sentez : ça approche.
Et en attendant, vous observez ce qui se passe autour. Vous écoutez, vous ressentez, mais vous ne dites pas encore tout.

La saison du Gémeaux vous bouscule d’une drôle de façon : ce n’est pas un signe qui vous ressemble. Il va vite. Il parle beaucoup. Vous, vous préférez ressentir avant de formuler.
Mais ce mois-ci, les émotions ne se laissent plus enterrer sous prétexte de discrétion.

Jupiter entre dans votre signe le 9 juin. C’est majeur. Il n’était pas passé par là depuis 12 ans. Il vient agrandir ce que vous ressentez, ce que vous espérez, ce que vous redoutez.
Si vous êtes au clair avec vous-même, ça va porter. Sinon, ça déborde.

Avant ça, la Nouvelle Lune du 27 vous pousse à faire le tri mental.
Pas à tout comprendre. Juste à poser ce que vous ne voulez plus garder dans la tête.
Et à partir du 11 juin, la Pleine Lune éclaire ce que vous faites de votre énergie.
Si vous vous sentez vidé, ce n’est pas un hasard.

🟢 À faire : écouter ce que vous ressentez sans le minimiser. Vous n’avez plus besoin d’attendre la permission pour dire ce que ça vous fait.
🔴 À éviter : faire semblant d’aller bien juste pour éviter une conversation inconfortable.

♌ LION — Être au centre ne suffit plus

Ce mois-ci, ce n’est pas votre nom qu’on remet en jeu. C’est votre direction.
Vous êtes entouré. Sollicité. On vous demande votre avis, votre énergie, votre présence. Et en surface, tout semble bien tourner.

Mais derrière ça, il y a une question qui gratte : est-ce que ce que je construis m’emmène quelque part, ou est-ce que je gère juste bien ce que j’ai déjà ?

Le Gémeaux vous stimule, oui. Il réveille vos contacts, vos projets collectifs, votre besoin de transmettre.
Mais il vous pousse aussi à trop faire. Trop penser. Trop répondre. Et là-dedans, vous risquez de vous perdre.

La Nouvelle Lune du 27 peut ramener un vrai sens du collectif. Mais si vous portez tout, si vous dites oui à tout, vous finissez à sec.
Et la Pleine Lune du 11 vient appuyer là où vous êtes censé vibrer. Si ça ne prend plus, si ça sonne faux, vous le sentirez immédiatement.

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Ce mois-ci, la vraie force, ce n’est pas d’assurer. C’est d’ajuster.
Même si ça veut dire décevoir certaines attentes autour de vous.

🟢 À faire : remettre vos priorités au centre sans avoir besoin qu’on les valide.
🔴 À éviter : tenir un rôle qui ne vous ressemble plus juste parce qu’il est devenu confortable.

♍ VIERGE — Trop d’agitation, pas assez de structure

Pour vous, cette saison ressemble à une surcharge.
Tout s’active. Les mails, les rendez-vous, les nouvelles idées… et vous êtes censé suivre, organiser, répondre, tout en gardant le cap.

Avec le Soleil, Mercure et la Nouvelle Lune en Gémeaux, votre zone pro est directement ciblée. Ce n’est pas le moment de rêver, c’est le moment d’ajuster.
Mais le problème, c’est que tout change en cours de route. Les consignes, les envies, les gens autour. Rien n’est stable, et ça vous épuise.

Vous cherchez à cadrer ce que vous vivez avec une logique claire.
Mais ce mois-ci, ce n’est pas la logique qui vous sauve. C’est la capacité à improviser sans vous perdre.

La Pleine Lune en Sagittaire, le 11 juin, vient rappeler que tout ne se contrôle pas.
Elle vous pousse à revenir à l’essentiel : ce qui vous sécurise intérieurement, pas juste ce qui a l’air carré sur le papier.

🟢 À faire : rester flexible sans perdre votre axe. Déléguer là où vous vous accrochez pour rien.
🔴 À éviter : chercher à tout comprendre maintenant. Ce n’est pas le moment. C’est le moment d’avancer, et de réajuster après.

♎ BALANCE — Un appel au mouvement… mais sous conditions

En apparence, la saison du Gémeaux vous va bien : c’est un signe d’air, comme vous. Il vous pousse à bouger, à vous ouvrir, à élargir vos perspectives.

Et c’est vrai qu’au début, tout semble s’aligner : le Soleil, Mercure et la Nouvelle Lune activent une zone de curiosité, d’apprentissages, de projets de déplacement ou de réorientation. Vous avez envie d’y croire, de relancer quelque chose, de repartir.
Mais dès que vous essayez de concrétiser, ça coince.
La direction n’est pas claire. L’environnement change trop vite.

À partir du 6 juin, l’entrée de Vénus en Taureau vient remettre du poids dans vos relations. Le flirt mental ne suffit plus. Les liens se testent sur leur consistance. Vous allez devoir répondre à une question simple : est-ce que ce que je construis tient pour de vrai, ou est-ce que je meuble ?

Et la Pleine Lune du 11 juin vous pousse à sortir d’une forme d’ambiguïté. Vous devrez vous positionner. Ce que vous savez, ce que vous croyez, ce que vous tolérez par confort… tout ça devient visible.

🟢 À faire : oser poser des limites dans vos échanges. Être clair sur ce que vous voulez bâtir.
🔴 À éviter : naviguer dans le flou relationnel en espérant que l’autre décide pour vous.

♏ SCORPION — Ce qui tient encore doit être regardé en face

La saison du Gémeaux, pour vous, c’est rarement du confort.
Cette année, c’est pire : tout ce qui se joue dans les liens profonds revient sur le devant de la scène. Et ce n’est pas léger.

La Nouvelle Lune du 27 mai s’invite dans un endroit que vous préférez garder sous clé : vos attachements, vos peurs, vos dépendances.
Quelque chose est en train de se transformer, doucement mais sûrement. Et si vous continuez à faire semblant de ne rien voir, c’est la relation elle-même qui va le faire à votre place.

Vénus passe en Taureau le 6 juin, face à vous. Et là, pas de triche possible. Ce que vous vivez à deux — ou contre deux — se précise. Soit ça devient plus vrai, soit ça s’arrête.
Pas de compromis flou sous prétexte de loyauté. Ce n’est plus tenable.

Et le 11 juin, la Pleine Lune en Sagittaire vient appuyer là où ça vous coûte : ce que vous donnez sans retour, ce que vous financez, ce que vous supportez.
C’est le moment de rééquilibrer. Ou de lâcher.

🟢 À faire : poser les vraies limites, même dans ce que vous appelez “proximité”.
🔴 À éviter : vous accrocher à ce qui vous vide sous prétexte que “ça fait partie du lien”.

♐ SAGITTAIRE — Ça y est, vous y êtes

Le Soleil est en face, Mercure aussi.
Et pour une fois, ce n’est pas un test. C’est une opportunité.

Cette saison, vous êtes traversé par quelque chose d’assez rare : tout s’aligne pour que vous puissiez reprendre la parole, reprendre le lien, reprendre votre place.
Et ça, vous ne l’aviez pas eu depuis un moment.

La Nouvelle Lune du 27 mai vous pousse à aller vers l’autre.
Par choix. Pas par manque. Si vous aviez perdu le goût du dialogue, il revient.
Et cette fois, ce n’est pas juste bavard. C’est vivant. C’est clair.

Les liens s’allègent. Les conversations respirent. Les retrouvailles deviennent possibles.

Et puis le 11 juin, la Pleine Lune tombe chez vous.
Là, vous prenez la mesure. De ce que vous êtes devenu. De ce que vous voulez vraiment vivre.
C’est un moment fort, mais doux. Un moment où vous pouvez décider. Sans rupture. Sans tension. Juste en étant vous.

Même le départ de Jupiter, votre planète, le 9 juin, ne vous retire rien. Il vous aide juste à redescendre dans le corps. À vous reconnecter. À faire de la place pour autre chose.

🟢 À faire : dire ce que vous voulez créer, relancer un lien qui compte, laisser une chance à ce qui revient plus aligné.
🔴 À éviter : penser que vous devez forcément provoquer pour exister. Vous avez déjà toute l’attention qu’il vous faut.

♑ CAPRICORNE — Ce que vous portez, il va falloir le poser quelque part

La saison du Gémeaux ne vous bouscule pas frontalement, mais elle vient se glisser dans les détails.
Elle agit là où vous vous organisez, là où vous gérez, là où vous tenez la structure de tout ce qui vous entoure.
Et ce mois-ci, cette structure est à revoir.

Avec le Soleil, Mercure et la Nouvelle Lune en Gémeaux, le quotidien se charge vite. Trop vite. Les demandes s’enchaînent, les ajustements aussi. Vous tenez, parce que vous savez faire.
Mais à quel prix ?

Cette pression, elle ne vient pas seulement de l’extérieur.
Elle vient de ce que vous pensez devoir faire, devoir maintenir, devoir porter sans broncher.
Et c’est justement là que le ciel vous dit stop.

La Pleine Lune du 11 juin, en Sagittaire, vient activer une zone d’ombre. Elle ne cherche pas à exposer. Elle vous invite à souffler. À reconnaître ce qui vous épuise sans résultat.
Pas pour fuir. Pour respirer.

Vénus entre en Taureau le 6 juin, et c’est là que ça peut se rééquilibrer.
Elle vous donne accès à autre chose : au plaisir, au désir, à la création.
Rien de spectaculaire. Mais assez pour rappeler que la vie ne se résume pas à tenir bon.

Et le passage de Jupiter en Cancer, le 9 juin, marque le début d’un tournant plus relationnel.
Ce que vous aviez mis de côté — un lien, une promesse, une place à accorder à l’autre — revient en surface. Lentement, mais clairement.

🟢 À faire : revoir votre charge réelle. Pas celle que vous assumez “parce qu’il faut”. Celle qui a encore du sens.
🔴 À éviter : croire que vous devez tout contenir seul pour que ça tienne. Vous avez besoin d’espace. Et de soutien.

♒ VERSEAU — Vous êtes tiré vers le haut, mais pas sans résistance

La saison commence avec un vrai coup de fouet.
Le Soleil et Mercure en Gémeaux réactivent quelque chose que vous aviez laissé de côté : une envie de légèreté, de mouvement, d’expression libre.
Et cette fois, ce n’est pas juste mental. Ça redonne du souffle.

La Nouvelle Lune du 27 mai peut relancer une dynamique créative, affective ou personnelle que vous pensiez terminée.
Quelque chose revient — ou se révèle — et vous pousse à reprendre la main sur ce qui vous anime vraiment.

Mais l’agitation extérieure a ses limites.
Vénus en Taureau (à partir du 6 juin) vient remettre du poids dans ce que vous vivez au quotidien. Les rapports familiaux, la gestion de votre énergie, la fatigue accumulée… Ce n’est pas le moment de tout nier sous prétexte de mouvement.
Vous avez besoin de cadre. Pas de blocage, mais de vrai terrain.

Et avec la Pleine Lune du 11 juin, certaines relations sociales ou collectives arrivent à un point de bascule.
Ce qui n’a plus d’élan naturel peut s’effondrer sans drame. Ce n’est pas une fin. C’est une clarification.

Le passage de Jupiter en Cancer le 9 juin marque un virage : après l’agitation, il faudra tenir ce que vous avez lancé. Vous passez à la pratique. Et c’est là que ça compte.

♓ POISSONS — L’extérieur s’agite, l’intérieur résiste

Depuis le début de la saison, il y a ce tiraillement entre ce que vous ressentez et ce que le monde vous demande.
Le Soleil et Mercure en Gémeaux viennent stimuler tout ce qui touche à votre environnement immédiat : les échanges, les demandes, les sollicitations familiales ou relationnelles.
Et même si vous essayez de rester à l’écart, ça vous touche.

La Nouvelle Lune du 27 mai peut faire remonter une tension dans votre équilibre personnel. Un besoin d’espace. De recentrage.
Ce n’est pas évident à formuler. Mais c’est là.

À partir du 6 juin, Vénus entre en Taureau et vous permet de retrouver une douceur dans les échanges. Le contact redevient possible. Le lien s’apaise.
Pas besoin de tout résoudre. Juste de retrouver une qualité d’écoute — pour vous comme pour l’autre.

Le 9 juin, Jupiter entre en Cancer, et vous redonne une vraie ouverture. Pas sociale. Créative. Affective.
Quelque chose s’adoucit. S’élargit.
Ce que vous ressentiez comme une attente devient peut-être une promesse.

Et la Pleine Lune du 11 juin, elle, vous demande une forme d’alignement.
Si vous jouez encore un rôle en décalage avec ce que vous vivez, ça craque.
Mais si vous êtes resté fidèle à ce que vous ressentez, alors cette tension peut devenir une clarté.