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exemple : 01/01/1960

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chakra sacré bloqué

Chakra sacré : vous l’avez bloqué sans le vouloir. Il vous le fait payer sans bruit.

Il ne s’est pas bloqué un mardi matin. C’est arrivé doucement. Presque sans bruit.

Vous ne sauriez pas dire quand c’est arrivé. Ce n’est pas venu d’un coup, comme un vertige ou un arrêt brutal. Non, c’était plus lent, plus silencieux. Une série de petits gestes automatiques, de “ce n’est pas grave”, de “on verra plus tard”, de “je n’ai pas le temps pour ça”. Une émotion qu’on ravale, un plaisir qu’on repousse, un désir qu’on éteint sans même y penser.

Et un jour, vous vous réveillez avec ce drôle de vide dans le ventre. Pas une douleur. Pas une panne. Un entre-deux flou. Le corps fonctionne, mais il ne vibre plus.

Le bas du ventre, cette zone qu’on regarde à peine, ne dit plus rien. Plus d’élan, plus de feu, plus d’appel. Juste une absence qui ne fait pas de bruit, mais qui finit par se remarquer.
On croit que c’est la fatigue, la météo, le mental. Et peut-être que ça l’est. Mais peut-être aussi que ce que vous appelez “manque d’envie”, “plus rien qui circule”, c’est votre chakra sacré qui, doucement, a fermé les volets. Pas en signe de guerre. En signe de protection. Et maintenant, il attend. Que vous reveniez.

Le chakra sacré, ce n’est pas le chakra du sexe. C’est celui du vivant.

Il a mauvaise presse, ce chakra-là. On le regarde de travers, on le résume en un clin d’œil gêné : “le chakra du sexe, non ?”. Sous-entendu : pas très sérieux, pas très spirituel, un peu trop… organique. On l’associe à la sensualité, au désir, à quelques séances de tantra pour citadins stressés, et on passe vite à l’intellectuel, au propre, au supérieur.

Mais c’est une erreur. Et une erreur coûteuse.

Le chakra sacré, c’est celui de l’élan. C’est celui qui dit “je ressens”. “Je veux”. “Je suis traversé·e”. Il ne pense pas, il ne contrôle pas, il ne trie pas. Il laisse passer. L’émotion, le plaisir, l’envie, la peur, la chaleur, le trouble. Il est là, sous le nombril, entre les hanches, comme un centre de gravité oublié. Là où ça vibre. Là où ça ondule. Là où on est vivant.

Quand ce chakra fonctionne, tout est plus fluide. On ne parle pas ici d’éveil mystique ou de sexualité extatique, mais de quelque chose de plus subtil, plus banal, presque invisible : le sourire qui monte tout seul, le frisson quand on écoute une chanson, l’excitation douce d’un projet qui nous fait vibrer. La présence à ce qui est, là, dans le corps, sans justification.

Et quand il se bloque ? Rien de spectaculaire. Juste une lente dévitalisation. Tout devient mécanique. La sensualité s’éteint, la créativité s’efface, la joie devient une rumeur lointaine. On continue d’agir, bien sûr, mais sans être traversé. Sans feu. Sans jus.

Ce n’est pas une déconnexion. C’est pire. C’est une vie en sourdine.

Comment ça se ferme ? Un peu comme on apprend à se taire.

Il n’y a pas forcément eu un événement. Il n’y a pas eu de drame, de choc, de blessure identifiable. Juste un apprentissage lent. Une série d’ajustements, de petites censures intérieures, de gestes retenus, de désirs reportés. On apprend vite, dans cette société, à couper la source avant qu’elle déborde.

Dès l’enfance, on comprend qu’il y a des choses qu’on ne montre pas. Qu’on ne dit pas. Qu’on ne ressent pas trop fort. Il faut être discret, propre, poli. Pas trop bruyant. Pas trop expressif. Pas trop vivant, en somme. Le corps devient suspect. Le plaisir, honteux. L’émotion, un luxe ou un danger. Alors on range. On rentre le ventre. On se tient droit. Et on débranche.

Parfois, c’est plus frontal. Une agression, un abus, un moment où le corps a été traversé contre son gré. Parfois, ce sont les mémoires. Des histoires qu’on ne connaît pas, mais qu’on porte. Celles de femmes qui se sont tues. D’hommes qui ont cadenassé leur tendresse. De lignées entières qui ont appris que ressentir, c’était dangereux. Le chakra sacré, lui, enregistre. Il stocke ce qu’on n’a pas su exprimer. Ce qu’on n’a pas osé vivre. Ce qu’on a cru devoir retenir.

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Et puis il finit par fermer. Pas par vengeance. Par survie. Il coupe pour protéger. Pour éviter que ça déborde. Et le pire, c’est qu’on finit par s’habituer. À vivre sans sentir. À désirer sans feu. À créer sans élan.

Mais le corps, lui, n’oublie rien. Il attend. Il garde. Il vibre encore, en silence.

Ce que ça provoque (et que vous n’appelez jamais par son nom)

Quand le chakra sacré se fige, vous ne le sentez pas tout de suite.
Ce n’est pas un blocage net, une douleur identifiable, un truc spectaculaire.
C’est plus sournois.
C’est ce moment où tout devient… tiède.

Vous ne perdez pas vos émotions. Vous les vivez à moitié.
Vous n’arrêtez pas de désirer. Vous le faites sans y croire.
Vous continuez d’avancer, de parler, de faire — mais sans être traversé·e.
Sans être touché·e.

Et forcément, au début, vous ne pensez pas au chakra sacré.
Vous pensez à une phase.
À la fatigue.
À la météo.
À l’âge.
À vos hormones.
Mais rarement à cette partie de vous, là, juste sous le nombril, qui attend qu’on revienne.

Quand ce chakra est bloqué, il y a plusieurs scénarios.
Parfois, le plaisir devient inaccessible. Rien ne vous traverse, rien ne vous réchauffe. Le corps est là, mais l’élan s’est retiré. La sensualité devient une formalité, la créativité un souvenir.

D’autres fois, c’est l’excès. Trop d’émotions d’un coup. Trop de colère, trop de chagrin, trop de sensibilité, comme si tout débordait sans filtre. Parce que quand ce chakra ne filtre plus, il laisse passer sans transformer. Ce n’est pas de la fluidité, c’est une fuite.

Et puis il y a les blocages silencieux. Ceux qu’on ne remarque même plus.
On vit sans pulsation. On agit sans vibration.
On n’a pas mal. On n’a juste plus envie.

Et ce “plus envie” s’infiltre partout : dans le lit, dans les projets, dans la joie.
On ne crée plus.
On ne rêve plus.
On ne ressent plus que par intermittence.
Et on appelle ça “le quotidien”.
Mais c’est un corps qui a mis sa lumière en veille.

Comment ça revient ? Par petits frémissements. Rien de spectaculaire.

On aimerait pouvoir claquer des doigts. Avoir un mode d’emploi. Une liste d’exercices. Un rituel.
Mais non.
Le chakra sacré ne répond pas aux injonctions. Il ne s’ouvre pas sur commande. Il revient quand on recommence à l’habiter.

Et ça peut prendre du temps.
Ce sont des micro-réveils.
Une chanson qui vous donne la chair de poule. Un plat qui réchauffe pour de vrai. Une caresse qu’on ne donne pas par devoir mais parce qu’on en a envie.
Un frisson. Un souffle. Un instant où on sent que ça recommence à circuler, doucement.
Pas comme avant.
Autrement.

On ne “travaille” pas sur le chakra sacré.
On lui laisse de la place.
On réapprend à sentir sans se juger.
À vibrer sans se justifier.

Et un jour, sans prévenir, on rit pour rien.
Et ce rien, c’est lui.

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