
Pourquoi certaines journées vous laissent en morceaux (alors qu’elles avaient l’air normales)
Il y a des jours où vous êtes au taquet. L’œil vif, l’âme légère avec l’impression d’avoir mangé du soleil au petit déjeuner.
Et d’autres… où rien ne va. Tout est lourd, tout est lent. Même le café n’a aucun effet, et pourtant, vous en êtes déjà à votre 3e.
Et non, ce n’est pas (que) la fatigue. Ce n’est pas non plus la pleine lune même si elle a bon dos.
Ce qui change en réalité c’est votre énergie émotionnelle, un carburant intérieur qu’on vide souvent sans s’en rendre compte.
En clair : ce n’est pas ce que vous vivez qui vous vide, c’est ce que vous ressentez sans oser l’écouter.
Une journée vous élève quand vous êtes aligné(e) avec ce que vous ressentez. Elle vous épuise quand vous jouez un rôle ou que vous vous trahissez, même à petite dose.
Allez, on déballe tout ça.
L’énergie émotionnelle, ce truc qu’on ne voit pas mais qu’on ressent très fort
Ce n’est pas marqué sur votre front, mais chaque matin vous avez un “capital énergie émotionnelle”. Un peu comme un forfait mobile : il y a un certain nombre de gigas dispo… et si vous passez la journée à avaler des tensions, faire semblant d’aller bien et encaisser sans rien dire, ça saute vite.
Pas besoin d’un gros choc, parfois une simple ambiance lourde ou un déjeuner forcé suffit à vous plomber la barre de réseau.
Ce capital-là, vous ne le gérez pas avec une appli. Il se régule (ou pas) en fonction :
- de ce que vous vivez,
- de ce que vous ressentez (même ce que vous planquez bien profond),
- et de tout ce que vous absorbez en mode éponge humaine (parce que oui, même quand vous ne dites rien vous ressentez tout.)
Et attention, : ce n’est pas la longue liste de chose à faire que vous avez prévu qui vous épuise.
Mais ce sont des choses que vous encaissez en silence.
Les “ça va” que vous balancez par réflexe alors que non, justement ça va pas. Les sourires automatiques, les conversations où vous vous ennuyez à mourir mais où vous restez poli(e) parce que “ça se fait pas”. Et à la fin de la journée, vous ne comprenez pas pourquoi vous êtes aussi vidé(e). Voilà, vous venez de cramer votre forfait.
- Une journée sans conflit mais pleine de “non-dits”, de “ça me saoule mais je dis rien” = épuisement garanti.
- Une réunion calme mais où vous jouez un rôle de version corporate de vous-même = fuite d’énergie.
En surface tout a l’air normal, mais à l’intérieur vous êtes en mode service minimum, plus personne n’est au poste.
Les vraies fuites d’énergie ? Celles qu’on ignore
On croit que ce sont les grands événements qui nous épuisent (les disputes, les mauvaises nouvelles, les deadlines qui s’empilent.) mais en réalité ce ne sont pas les vagues qui vous vident. C’est le courant souterrain.
C’est quand vous êtes dans un endroit où vous n’êtes pas à votre place mais que vous restez parce que c’est plus simple.
Quand vous faites la conversation alors que tout en vous a juste envie de se taire, quand vous baissez d’un cran votre présence, pour ne pas faire trop. Quand vous vous retenez d’être pleinement vous, par prudence.
Et le pire c’est que c’est devenu automatique, on n’appelle même plus ça une fuite. On appelle ça “avoir l’habitude”, “gérer”, “s’adapter”. Mais c’est exactement là que se fait la fuite, quand vous n’osez même plus ressentir du tout.
C’est comme laisser le robinet ouvert toute la journée, Juste un filet continu, discret, mais à la fin la cuve est vide, et vous avec.
Et à l’inverse, ce qui recharge vraiment
Il y a aussi des journées où, allez savoir pourquoi, vous arrivez au soir avec plus d’élan qu’au réveil.
Vous n’avez pas gagné au loto, vous n’avez pas médité trois heures sous un arbre mais vous vous sentez… bien. Stable. Presque léger(ère).
Parce que vous avez pu être vous-même sans vous faire violence. Pas de faux sourire à maintenir, pas de “ça va” lancé alors que non et pas non plus de petit théâtre social à jouer jusqu’au bout de l’épuisement.
Vous avez juste été là, présent(e), sans ruser avec vous-même. Et ça, mine de rien c’est reposant.
Une conversation sans filtre où vous n’avez pas eu besoin de traduire chaque émotion en “version acceptable”. Un “non” posé comme on pose une tasse, un silence qui ne vous a pas donné envie de fuir en parlant météo. Et surtout : aucune partie de vous n’a eu à se tordre pour faire tenir le décor.
• Temps de communication limité
• Peut impliquer un temps d'attente si l'expert est déjà en ligne
• Minutes de communication prélevées sur facture téléphonique
Juste un truc qui circule à nouveau, parce que rien en vous ne faisait barrage. Et c’est ça qui recharge, c’est l’absence de dissonance intérieure. C’est rare mais quand ça arrive, on le sent tout de suite : on arrête de tenir, on commence à respirer.
Comment savoir si vous êtes vidé(e) émotionnellement ?
Petit test maison. Pas besoin de tableau Excel ni de rendez-vous chez l’ostéo.
Si vous cochez deux ou trois de ces cases, il est peut-être temps de lever le pied (ou de lâcher deux-trois trucs que vous portez pour tout le monde) :
– Vous êtes épuisé(e)… alors que techniquement vous n’avez “rien fait de spécial”
– Une décision toute simple vous paraît aussi engageante qu’un déménagement à l’autre bout du monde
– Vous rêvez d’être seul(e)… ou au contraire, vous avez besoin d’un bruit constant pour ne pas entendre ce qui remue en vous
– Votre cerveau tourne en boucle comme une machine à laver bloquée en essorage
– Vous avez tellement joué des versions sociales de vous-même que vous ne savez plus laquelle est la vraie
Pas besoin de tout cocher. Deux, c’est déjà pas mal. Et si vous vous reconnaissez dans tous les points ? C’est que vous fonctionnez en pilote automatique, réservoir vide… et sourire vissé.
Quelques idées simples (et efficaces) pour retrouver votre jus
Non, on ne va pas vous dire d’aller “respirer sous un arbre en pleine conscience” (sauf si ça vous parle).
Mais voilà ce qui peut vraiment faire une différence :
1. Check émotionnel du jour
Avant de penser à ce que vous devez faire, demandez-vous comment vous vous sentez vraiment. Pas le “ça va” automatique. Juste un “là, maintenant, qu’est-ce que je ressens ?”
Ça prend dix secondes et parfois, c’est la première fois de la journée que vous vous ré-entendez.
2. Vider ce qui encombre
Pas besoin d’écrire un journal intime façon roman. Une phrase balancée sur un papier, un coup de gueule dans votre voiture, une note vocale que vous n’enverrez jamais : tant que ça sort ça soulage. Ce que vous exprimez ne vous colle plus au corps.
3. Triez vos contacts (oui, même ceux qui “n’ont rien fait de mal”)
Il y a des gens, vous les voyez 10 minutes vous êtes vidé(e). D’autres, même fatigué(e), vous sortez avec plus d’énergie qu’en arrivant.
Ce n’est pas une question d’affection, c’est une question d’impact. Et parfois, le tri c’est une forme de soin.
4. Faites un choix qui vous ressemble
Pas besoin de révolutionner votre vie, juste un petit “non” que vous n’avez jamais osé dire. Une pause prise sans vous justifier. Une réponse que vous ne donnez pas tout de suite.,Un tout petit acte aligné peut suffire à remettre les choses en place à l’intérieur.
Et si vous sentez que “quelque chose cloche”, sans savoir quoi…
Il y a des fois où malgré les efforts, le tri, les prises de conscience… quelque chose résiste. Vous avez mis de l’ordre, levé le pied, changé des choses, mais au fond, il y a toujours ce poids. Un truc qui ne dit pas son nom. Juste une sensation persistante que quelque chose cloche.
Et là on ne parle plus de charge mentale ou de stress, on parle de ce qui échappe à la logique. Des boucles qui se répètent sans raison, d’un lien qui colle, d’une fatigue qui ne se repose pas. D’une impression de ne plus être totalement chez soi… dans sa propre vie.
C’est dans ces moments-là que la voyance peut mettre la lumière là où vous sentez que quelque chose vous échappe.
Chez Cabinet KLD, on ne va pas vous dire “ce que vous devez faire”.
Mais on peut vous aider à voir ce que vous ne voyez plus, ou ce que vous sentez, sans oser l’écouter. Et souvent ça suffit. Parce qu’avoir les mots c’est déjà retrouver une direction.
👉 Prenez rendez-vous avec un voyant du Cabinet KLD Parfois, c’est tout ce qu’il faut pour que l’énergie revienne.